


Activities :
One of the most beautiful golf courses in France, 2 km away: the Golf de Touraine.
Tennis, canoeing, tree climbing, horse riding nearby
(2/3km).
The Loire by bike, crosses the village of Savonnières, known
known for its beach and quality shops,
Some restaurants around the Manoir du Plessis
gastronomic restaurants
– La Maison tourangelle(9 Route des Grottes Pétrifiantes 37510 Savonnières 02 47 50 30 05)
– L’Auberge du XIIe Siècle (1 Rue du Château 37190 Saché – 02 47 26 88 77)
– L’Aigle d’Or(10 Avenue Adélaïde Riche 37190Azay-le-Rideau-02 47 45 24 58)
– Le Château d’Artigny (92 rue de Monts 37250 Montbazon – 02 47 34 30 30)
Traditional restaurants
– L’Auberge du pont (71 Rue Principale 37510 Savonnières – 02 47 50 00 20)
– L’Étape Gourmande (La Giraudière, 37510 Villandry – 02 47 50 08 60)
– Le Bout du monde (Le Bourg, 37510 Berthenay – 02 47 43 51 50)
– Les caves du Gosier Sec (Route de Lignières, 37510 Villandry-02 47 37 73 77)
– Le Colombien (2 rue de la Mairie 37510 Villandry – 02 47 50 07 27)
Only for lunch
La Doulce Terrasse at the Château de Villandry (02 47 50 02 10)
Wine bar and delicatessen
L’Épicerie Gourmande (6 Rue de la Mairie 37510 Villandry – 02 47 43 57 49)
And more restaurants in Tours…
Local shops
1 km from Le Plessis, in the village of Savonnières you will find
two bakeries.
The first one on your right has very good baguettes and gluten free bread.
The second one on the left has better chocolate bread and croissants.
A grocery shop called “Supérette principale” (16 Rue Principale 37510 Savonnières -02 47 50 05 20)
A very good butcher, a pork butcher, a pharmacy, two hairdressers, a tobacconist, a florist, a PMU bar, an ATM, a post office, …
A little further on…
Supermarket :
Auchan at 5 km (9 Avenue Jean Mermoz, 37510 Ballan-Miré (08:30-20:00) – 02 47 53 40 07)
Super U at 6 km (Boulevard des Bretonnières, 37300 Joué-lès-Tours (08:30-20:00) – 02 47 67 75 41)
Maraicher :
A fruit and vegetable vending machine, at the exit of Villandry Village, is open 24 hours a day. Fabrice Lecomte, a market gardener, has a farm next door. His soups are delicious!!!!
Market :
Savonnières: Every Saturday, from 8.30am to 1pm, a small market is held on the Place du Cher.
Langeais: Every Sunday, from 8am to 1pm, on the Place de l’Europe, there is a magnificent market in Langeais… We recommend it!
Brocantes :
Many flea markets and garage sales take place in the summer. We invite you to consult the site: https://vide-greniers.org/37-Indre-et-Loire
To Visit:
- The château and the gardens of Villandry
Magnificent garden at the foot of a Renaissance castle
Chronologically speaking, Villandry is the last of the great Loire châteaux built during the Renaissance. The chateau of Villandry is inhabited since this period. Each owner, including Jean Le Breton, an influential adviser to François I, the Marquis de Castellane, former French ambassador of Louis XV to Constantinople, Jerome Bonaparte, brother of Napoleon I, Joachim Carvallo, helped to make Villandry one of the most beautiful chateaux of the Loire. The sober elegance of its architecture combined with the charm of its outstanding gardens make this one of the jewels of world heritage.
However, in 1906, the acquisition of the estate by Joachim Carvallo marked a return to their roots for the gardens of Villandry. Already known for their beauty in the Renaissance, different owners successively transformed them, now into a formal garden, now a romantic garden. With a scientist’s meticulousness, Carvallo recreated gardens that were worthy of the restored chateau.
Among the Chateaux of the Loire, Villandry undoubtedly owes its frame to the splendid terraces of gardens which encase it like a jeweled casket.
During your walk, six gardens will be to discover (the decorative kitchen garden, the ornamental salons, the water garden, the sun garden, the herb garden and the labyrinth)
The gardens are open all seasons and every single day of the year, including public holidays, from 9:00 am.
- Château d’Amboise
Le château d’Amboise surplombe la Loire à Amboise dans le département d’Indre-et-Loire et fait partie des châteaux de la Loire.
Avant d’être rattaché à la couronne en 1434, le château appartenait, depuis plus de quatre siècles, à la puissante famille d’Amboise. Pendant la Renaissance, il sert de résidence à plusieurs rois de France.
Il a été partiellement détruit après la Révolution : du projet de Charles VIII subsistent toutefois le logis royal, la chapelle Saint-Hubert où repose Léonard de Vinci, les terrasses et les tours cavalières qui donnent au monument cette silhouette si singulière.
Le promontoire rocheux sur lequel est situé le château a toujours constitué un poste d’observation idéal : un oppidum gaulois fut d’abord construit puis remplacé par une forteresse féodale : de ces vestiges, il ne reste actuellement plus rien. Les seuls éléments parvenus jusqu’à nous sont : postérieurs au XVe siècle. Le château actuel est bâti sur ordre de Charles VIII, Louis XII et François Ier entre le XVe et XVIe siècles.
Ce château compte parmi l’une des premières résidences royales, par laquelle il introduit le goût italien en Val de Loire. Lieu chargé d’histoire, il en permet une évocation chaleureuse, du fait de la présence d’une exceptionnelle collection de mobilier gothique et Renaissance.
Ce monument emblématique et ses jardins paysagers offrent un des plus remarquables panoramas sur la vallée de la Loire, classé au Patrimoine mondial par l’Unesco.
Chaque parcours de visite porte un regard singulier sur ce haut-lieu de l’Histoire de France : son rayonnement politique et artistique européen à la Renaissance; les moments intimes de la vie des souverains; la vie quotidienne et les coulisses de la Cour.
Le Château est ouvert à la visite tous les jours de l’année, à l’exception du 1er janvier et du 25 décembre.
Fermeture du Logis royal 30 mn après celle de la billetterie. Fermeture du parc 1 heure après celle de la billetterie.
- Château du Clos Lucé
Aujourd’hui classé monument historique,le Château du Clos Lucé a été acheté par Charles VIII le 2 juillet 1490 et devint la résidence d’été des rois de France, qui résidaient en Val de Loire au Château d’Amboise. Charles VIII transforma la forteresse médiévale en château d’agrément et fit construire une chapelle pour la reine Anne de Bretagne, qui y pleurait ses enfants morts en bas âge.
Plus tard, le jeune Duc d’Angoulême, futur François Ier, organise
des jeux guerriers dans les jardins du Château. Sa sœur, Marguerite de Navarre,
y écrit les contes de “l’Heptaméron”. Frère et sœur reçoivent
peintres, architectes, poètes, et font souffler sur les lieux l’esprit de la
Renaissance. C’est ainsi que, sur les conseils de sa sœur, François Ier
invite Léonard de Vinci à Amboise en 1516. « Tu seras libre, ici, de
rêver, de penser et de travailler » : c’est ainsi que le roi de
France accueille le génie italien, qui a franchi les Alpes à dos de mulet, transportant
avec lui trois de ses plus remarquables œuvres : la
Joconde, Sainte Anne la Vierge et l’Enfant et le Saint Jean Baptiste,
qu’il termine ici, au Château du Clos Lucé.
Le parc du château donne vie aux dessins botaniques, aux études géologiques et aux paysages du Maître. Déployé sur un hectare, le « Jardin de Léonard », véritable musée de plein air, a été paysagé et planté dans l’esprit des tableaux et dessins de Léonard de Vinci. Un parcours culturel a été mis en place avec des bornes sonores, un jardin présente les travaux de Léonard sur les plantes, ainsi que vingt machines géantes et un pont à deux niveaux, récemment réalisé d’après un croquis de l’artiste.
L’esprit de Léonard de Vinci souffle sur le Château du Clos Lucé, se mêlant à la mémoire de tous les hôtes célèbres qui ont fait les riches heures de la demeure. Heures royales, heures de génie, heures galantes et heures sanglantes…
Le Château du Clos Lucé est ouvert toute l’année, tous les jours sans interruption (sauf le 25 décembre et le 1er janvier). Le parcours paysager est présenté dans son intégralité pendant toute la durée de la haute saison.
- Château de Chaumont
A moins de 200 kilomètres au sud de Paris, entre les villes de Tours et de Blois, se cache un trésor de poésie. Oasis naturel, promontoire perché à 40 mètres au dessus de la Loire sauvage, le Domaine de Chaumont-sur-Loire fut la propriété de Catherine de Médicis, de Diane de Poitiers et de la Princesse de Broglie… Ici tout invite à l’émotion artistique, aujourd’hui de nombreux artistes investissent le domaine, le parc et ses dépendances !
Dès le Xème siècle, le Comte de Blois, Eudes Ier, fait bâtir une
forteresse pour protéger Blois des attaques du Comte d’Anjou.
En remerciement de son soutien, il offre Chaumont au chevalier normand Gelduin
le Jeune. Sa petite-nièce, Denise de Fougères ayant épousé en 1054 Sulpice Ier
d’Amboise, le château passe dans la famille d’Amboise pour cinq siècles.
Mais, en 1465, Louis XI fait détruire les bâtiments et extensions pour punir
Pierre d’Amboise de s’être révolté contre le pouvoir royal. Quelques années
plus tard, en 1469, le roi pardonne à Pierre d’Amboise, restitue les terres et
donne des fonds pour la reconstruction de Chaumont.
En 1560, Catherine de Médicis, veuve du roi Henri II et régente du royaume de
France, achète le château de Chaumont et contraint Diane de Poitiers,
ancienne favorite du roi, à lui donner celui de Chenonceau en échange. En 1750 le
château est acquis par Jacques Donatien Le Ray, futur intendant des Invalides
de Louis XVI. Il fait détruire l’aile nord pour ouvrir la cour d’honneur vers
la Loire et fonde près du château (emplacement des actuelles écuries) une
manufacture de poterie et de verrerie qui attire de nombreux artistes, dirigée par
le sculpteur et graveur Jean-Baptiste Nini. Jacques Donatien Le Ray parvient à
préserver de la révolution française le château où il reçut Benjamin Franklin
en 1776.
Son fils, dit Le Ray l’Américain le vends en 1823, au baron d’Etchegoyen.
En 1875, Marie-Charlotte Constance Say, fille et héritière du richissime
raffineur de sucre de canne Constant Say, achète le domaine de Chaumont. Elle
se marie quelques mois après avec le prince Henri-Amédée de Broglie. Le couple
ne cessera d’agrandir et d’embellir le domaine avec l’aide de l’architecte
Paul-Ernest Sanson : restauration des extérieurs, modernisation des
intérieurs et construction des écuries. Les écuries de Chaumont sont
représentatives de ce que l’aristocratie fortunée fait construire à la fin du
XIXe siècle pour abriter ses chevaux. Elles sont considérées à
l’époque comme les plus luxueuses d’Europe, bénéficiant alors d’un éclairage
électrique à arc, en même temps que l’Opéra Garnier et l’hôtel de ville de
Paris. En 1884, l’architecte paysagiste Henri Duchêne réalise le parc
d’agrément entourant le château. Pendant quarante ans, le château connaît une
époque fastueuse durant laquelle les Broglie donnent fêtes et réceptions, en
menant une vie luxueuse. Finalement, des revers de fortune obligent la princesse
de Broglie à vendre Chaumont en 1938 à l’État qui l’affecte au service des Monuments
historiques.
Le Château est ouvert toute l’année sauf les 1er janvier et 25 décembre
- Château d’Azay-le-Rideau
Le château d’Azay-le-Rideau est bâti sur une île au milieu de l’Indre sous le règne de François Ier. Subtile alliance de traditions françaises et de décors innovants venus d’Italie, il est une icône du nouvel art de bâtir du Val-de-Loire au XVIème siècle. Ses propriétaires successifs ont contribué à en faire le joyau architectural le plus harmonieux du Val-de-Loire. En 1905, l’Etat devient propriétaire du château d’Azay-le-Rideau.
Un importantchantier de restauration est entrepris par le Centre des monuments nationaux en 2015. Cette restauration va permettre une reprise complète de la couverture en ardoise ainsi qu’une remise en état de la remarquable charpente du début du XVIème siècle.
Le château d’Azay-le-Rideau est considéré comme l’un des modèles de l’architecture de la Renaissance française.
Vers 1510, Gilles Berthelot, conseiller du roi Louis XII et trésorier de France achète la forteresse médiévale d’Azay ainsi que les terres qui l’entourent. Cette possession seigneuriale doit renforcer sa nouvelle position sociale : fils d’un maître de la Chambre des comptes, Gilles Berthelot est devenu noble en héritant de la charge de son père. Il s’est illustré au service du roi de France en créant de nouvelles taxes, qui ont eu pour conséquence de remplir les caisses du royaume. Peu de temps après avoir acheté les terres d’Azay, Berthelot fait abattre une partie de la vieille forteresse pour ériger un château au goût du jour. Les travaux sont remarquablement courts : dès 1522, la charpente est achevée.
Mais Gilles Berthelot n’a guère le temps de profiter de sa demeure. Comme d’autres financiers, il s’est beaucoup enrichi par ses activités, peut-être au détriment de la couronne. Une enquête générale est ordonnée par François Ier : elle révèle des malversations. De peur d’être exécuté, Gilles Berthelot, prend la fuite, abandonnant son épouse et son château. Il meurt deux ans plus tard à Cambrai.
François Ier saisit le château d’Azay et l’offre à l’un de ses fidèles Antoine Raffin. La propriété passe ensuite aux mains de la famille Gelais de Lansac au gré des mariages. Le 27 juin 1617, le roi Louis XIII y séjourne. En 1651, le marquis de Vassé reçoit le château par alliance : il effectue quelques travaux pour embellir la demeure et construit le portail. Après sa mort en 1684, c’est la décrépitude du domaine, faute d’argent.
Mis en vente peu de temps avant la Révolution, le château est acquis en 1791 par le marquis de Biencourt. Tout au long du XIXe siècle, la famille Biencourt entreprend d’importants travaux de restauration, lui donnant sa forme actuelle. Elle aménage également le parc en un superbe jardin paysager, dans le goût anglais alors en vogue.
A la fin du siècle, le château passe entre les mains de plusieurs propriétaires avant d’être acheté, en 1905 par l’État. Le château est classé au titre des monuments historiques neuf ans plus tard.
Le Château est ouvert toute l’année. Les horaires dépendent de la saison, voir sur le site
- Château de Cheverny
Le
domaine de Cheverny appartient à la même famille depuis plus de six siècles,
les Hurault, financiers et officiers au service de plusieurs rois de France.
Le château est l’un des plus grands de la Vallée de la Loire et il est toujours
habité par les descendants des Hurault : le Marquis et la Marquise de
Vibraye. C’est l’un des châteaux de la Loire les plus fréquentés avec
ceux de Blois et de Chambord, tout proches.
Du premier château, construit au XVIème siècle, il ne reste que de rares
vestiges, dont la trace est encore visible dans les communs.
Puis, la seigneurie devient au milieu du XVIème siècle la propriété de Diane de
Poitiers, maîtresse du roi Henri II, qui la vend au fils du précédent
propriétaire et à son épouse.
Leur fils, Henri Hurault, et son épouse Marguerite Gaillard de La Morinière,
bâtissent le château entre 1624 et 1630. Ils confient la réalisation des
travaux à l’architecte Jacques Bougier (dit Boyer de Blois), qui a également
travaillé au nouvel aménagement du château de Blois.
Durant les 150 années suivantes, le château de Cheverny change de propriétaires
à plusieurs reprises. Finalement, en 1825, Anne-Victor Hurault, marquis de
Vibraye, rachète la propriété de ses ancêtres.
Le château de Cheverny est ouvert au public depuis 1922 sur l’idée de Philippe
de Vibraye, grand-oncle du propriétaire actuel, le marquis Charles-Antoine de
Vibraye. Mais il doit pour cela obtenir l’autorisation de sa mère. Elle accepte
à une seule condition : que Cheverny reste fermé le mardi, parce
qu’elle y reçoit ses amis !
Le domaine accueille chaque année près de 350 000 visiteurs.
Accessibles au public, un parc à l’anglaise et des jardins d’une superficie de près de 100 hectares entourent le château.
Le
domaine de Cheverny est aussi un haut lieu de vénerie, l’art de la chasse à
courre.
L’équipage de Cheverny est fondé en 1850 par le Marquis de Vibraye. De nos
jours, en forêt de Cheverny et dans les forêts voisines, l’équipage prélève
exclusivement des cerfs.
Dans les communs du château, un chenil héberge près d’une centaine de chiens
anglo-français tricolores. Presque tous les jours, à heure fixe, le public peut
assister au repas animé des chiens.
Le
château de Cheverny a inspiré le château de Moulinsart à l’auteur de bandes
dessinées belge, Hergé. En 1942, au cours d’une nouvelle aventure du reporter
Tintin, le château de Moulinsart fait sa première apparition dans Le
Secret de La Licorne. Il devient alors le port d’attache de Tintin, de Milou,
du professeur Tournesol, du capitaine Haddock et du majordome Nestor.
Le Domaine de Cheverny et la Fondation Hergé se sont associés pour réaliser et
mettre en place une exposition permanente sur le thème : les secrets de
Moulinsart. On peut y voir la chambre de Tintin, le laboratoire du professeur
Tournesol, ou encore la cave du château de Moulinsart. Cette exposition
est ouverte depuis 2001 au public et a déjà accueilli plus de 650 000
visiteurs.
Le Château est ouvert toute l’année. Les horaires dépendent de la saison, voir sur le site
La ville de Tours
Destination idéale pour les amoureux du patrimoine historique et naturel, Tours offre une balade urbaine au cœur du plus grand site français inscrit au Patrimoine mondial de L’Humanité, le Val de Loire. Berceau français de la Renaissance, Tours séduit les rois de France par son climat et la beauté de ses paysages. La ville a conservé de cette période un patrimoine bâti important, un goût de l’esthétique, de la création et de la culture.
A partir du roi de France Charles VII jusqu’à la fin du XVIème siècle, le Val de Loire a été le séjour préféré des rois. Cette présence a favorisé l’émergence de familles de la noblesse et de la bourgeoisie de Tours qui ont occupé les postes les plus importants de l’Administration Royale.
Ainsi les Beaune-Semblancay, Berthelot, Briçonnet, Ruzé, Bohier ont laissé
leur nom dans l’Histoire de la France
et celle de la ville à double titre: d’abord par les fonctions qu’ils ont
occupées et ensuite par les bâtiments, souvent somptueux, qu’ils se sont faits
construire.
Ce sont certains Châteaux de la Loire
mais aussi des Hôtels particuliers à Tours qui, pendant près d’un siècle
(1435-1523), a quasiment été la capitale du royaume de France. Un bel exemple
en est l’Hôtel Gouin ou encore
l’Hôtel Babou de la Bourdaisière,
hôtel particulier situé au 8-10 place Foire-le-Roi qui fut construit en 1520
pour Philibert Babou, surintendant des finances et dont la femme, Marie Gaudin,
était un temps la maitresse de François
I (descendu dans cet Hôtel en 1542).
Autre anecdote : Philibert Babou est l’arrière grand père de Gabrielle d’Estrées, la maitresse du
roi de France Henri IV. Deux femmes, deux maitresses de rois de France ont vécu
dans cet hôtel !
La ville de Tours regorge d’anecdotes, de lieux secrets qui à travers les rues médiévales vous font passer de quartiers en quartiers.
- La Place Plumereau
La Place Plumereau est la place emblématique de la ville de Tours. Située en plein coeur de la ville, cette place est d’abord un lieu chargé d’histoire avec ses maisons moyenâgeuses colorées du XVème siècle, typiques des constructions de la région et qui donnent à ce site un cachet très particulier. Cette place a longtemps abritée les maisons et les boutiques des artisans ou commerçants. Jusqu’au XIXème siècle s’y tenait un marché.
Aujourd’hui la place Plumereau est surtout le lieu branché de la ville. On y retrouve de nombreux bars, cafés ou restaurants et, à la tombée de la nuit, elle devient particulièrement animée et très fréquentée.
Cette double fonction historique et festive fait de cette place un lieu particulier de la ville de Tours où se croisent des publics très divers. “Un petit tour au Moyen Âge”, “Une place incontournable”
En famille :
- Le zoo de Beauval
Pour tous les amoureux des animaux et des belles ballades, le zoo de Beauval est une étape incontournable. Une journée de visite est à prévoir. La promenade à travers les allées est magnifique. A ne surtout pas rater le spectacle des rapaces et des oiseaux mais aussi le spectacle d’otaries, «L’Odyssée des lions de mer». et bien évidemment les pandas géants, attraction phare du parc !
Classé N° 1 des zoos de France, le ZooParc de Beauval présente la plus grande diversité animalière de France : avec plus de 8 000 animaux (parmi lesquels deux pandas géants, uniques en France) sur 35 hectares, le zoo de Beauval est l’un des plus importants parcs zoologiques d’Europe, et celui qui aurait la plus grande collection animalière de France.
Créé en 1980 par Françoise Delord, il est actuellement toujours géré par elle et sa famille.
Quatre serres tropicales accueillent oiseaux, paresseux, grands singes, lamantins et animaux australasiens. Une plaine africaine de 3 hectares permet à plus de 80 animaux de la savane africaine de vivre ensemble, tandis qu’une plaine asiatique de plus de 2 hectares présente des rhinocéros indiens, des tapirs et d’autres animaux de ce continent. Les autres installations importantes du parc sont la zone thématique chinoise, l’enclos des éléphants d’Afrique et les deux espaces dédiés aux spectacles : le bassin des otaries et le théâtre de verdure du spectacle d’oiseaux.
Le
ZooParc de Beauval ouvre tous les jours de l’année, dès 9h, y compris les jours
fériés.
Une journée entière de visite reste nécessaire pour effectuer la visite
complète du ZooParc de Beauval.
- Le Futuroscope
Situé à 10 kilomètres au nord de Poitiers, le Parc du Futuroscope est un parc de loisirs français à thème technologique, scientifique, d’anticipation et ludique, dont les attractions mélangent approches sensorielles et projections d’images. La totalité des attractions sont intérieures, à l’exception du spectacle nocturne, des jeux de plein air et de quelques animations en accès libre. De plus, le Parc accueille depuis 2009 des œuvres de land’art sur un thème différent chaque année.
Le Futuroscope est aussi le 2e Parc de France par son chiffre d’affaires (85 M€ de chiffre d’affaires en 2014) derrière Disneyland Paris, mais devant le Parc Astérix (73 M€) et le Puy du Fou (63,75 M€).
Le Parc fut annoncé comme un espace tourné vers le futur et proposant des films toujours plus novateurs et régulièrement renouvelés dans un contexte technologique toujours plus avancé. Le but avoué était d’en prendre plein les yeux et de ressentir un maximum de sensations fortes.
En 2015, le Parc adopte un nouveau slogan : « Vous n’imaginez pas ce qui vous attend. ». Dès la réouverture en février 2015, L’Arena Fun Xpériences propose 8 défis sportifs et technologiques dans le Pavillon du Futuroscope. Le 25 avril 2015, le nouveau spectacle vivant Les Mystères du Kube ouvre dans le pavillon Imax 3D reconverti en théâtre futuriste. Fin juillet, Futur l’expo prend place dans le pavillon Images Studio. Enfin, dès décembre 2015, L’Âge de glace 4D remplacera Le Petit Prince dans la salle 4D du Pavillon de l’imaginaire.
L’expérience du Futuroscope est diversifiée : spectacles vivants, simulateurs combinés aux images, parcours participatifs, activités de plein air et projection sur écrans géants.
« Au Futuroscope, vous pourrez aussi découvrir ou re-découvrir : la Vienne Dynamique + d’effets, Arthur et les Minimoys mais aussi l’ambiance clubbing de Danse avec les Robots remixée par le célèbre DJ Martin Solveig, le spectacle nocturne de Lady O sur l’une des plus vastes scènes aquatiques d’Europe ou encore, pour toute la famille, le spectacle d’illusions iMagic et son voyagez avec le Petit Prince dans un théâtre immersif aux effets sensoriels saisissants !! »
Consultez les dates et horaires d’ouverture du Futuroscope et les horaires du Spectacle Nocturne sur le site: www.futuroscope.com/fr